Qui sera le futur bâtonnier de Paris ?

Qui sera le futur bâtonnier de Paris ?

A l’approche de l’élection du futur bâtonnier de Paris, le 1er décembre prochain, Carrières-juridiques.com a rencontré les candidats briguant ce poste, soit seul, soit accompagné d’un vice-bâtonnier.

 

Si pour certains candidats, le vice-bâtonnier est une hérésie, pour d’autres il constitue un bras droit nécessaire. Nous avons recueilli leur point de vue sur le statut de la collaboration libérale, de l’avocat d’entreprise, des legal startups ou encore de la formation à l’EFB.

Olivier Cousi et Nathalie Roret

 

« Il faut faire sortir l’avocat de la bibliothèque, de telle sorte qu’il puisse travailler en complémentarité avec les startups. Pour y parvenir, le statut de la collaboration libérale doit également être adapté »

 

 

Pour en savoir + sur le programme d'Olivier Cousi et Nathalie Roret, lire notre article ici.

 

 

Marie-Aimée Peyron et Basile Ader

 

Les candidats Marie-Aimée Peyron et Basile Ader, briguant respectivement les postes de bâtonnier et de vice-bâtonnier, ont axé leur programme sur un renforcement des sanctions envers les comportements déviants auxquels les avocats pourraient se livrer, et proposent notamment de régler la question épineuse des legal startups en les frappant du sceau du Conseil de l’Ordre.

 

 

Pour en savoir + sur le programme de Marie-Aimée Peyron et Basile Ader, lire notre article ici.

 

 

Élizabeth Cauly et Élisabeth Oster

 

Visant respectivement les fonctions de bâtonnière et vice-bâtonnière, Élizabeth Oster et Élisabeth Cauly présentent leur candidature sous la forme d’un co-bâtonnat de rupture. Une rupture avec la césure qui existe actuellement entre les avocats et les institutions qui les représentent. Une rupture avec ce « cercle de l’entre-soi ».

 

 

Pour en savoir + sur le programme d'Élizabeth Oster et Élisabeth Cauly, lire notre article ici.

 

 

Carbon de Sèze

 

« Mon programme s’articule autour de 3 points essentiels. Tout d’abord, j’envisage la création d’une agence de fixation et de recouvrement des honoraires, l’instauration d’une formation à la révolution numérique et la mise à disposition d’outils numériques. A mon sens, il est indispensable que les avocats soient informés de ce que proposent les nouvelles technologies et que les cabinets soient dotés des outils numériques nécessaires ».

 

 

Pour en savoir + sur le programme de Carbon de Sèze, lire notre article ici.

 

 

Jean-Louis Bessis

 

« Je souhaite placer ce bâtonnat sous le double signe de l’impartialité et du désintéressement. A cette fin, je prends solennellement l’engagement de diviser par trois ma rémunération pendant les deux années de mon Bâtonnat »

 

 

 

Pour en savoir + sur le programme de Jean-Louis Bessis, lire notre article ici.

 

 

Pierre Allemand
@Pierre_Ald