En application des règles de droit commun régissant l’obligation de sécurité de l’employeur, le salarié qui justifie d’une exposition à l'amiante peut, dès lors que la preuve du préjudice qu'il a personnellement subi est rapportée, demander réparation de son préjudice d’anxiété. Une telle demande peut être formulée même s'il n'a pas travaillé dans un établissement susceptible d'ouvrir droit à l’allocation de cessation anticipée d'activité des travailleurs de l'amiante (ACAATA).
Pour lire la suite: https://urlz.fr/9s3u